Le persil:
Ne couper en tronçons que les queues tendres, pas les petites tiges un peu sèches où s’attachent les feuilles, elles ne fondront pas.

L’oignon:
J’en mets un vraiment petit, sinon on ne sent pas le goût des coquillages.

Spaghetti aux palourdes et palourdes sans spaghetti

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A feu vif, les palourdes vont s’ouvrir…

Ingrédients pour 2 personnes

500 gr de palourdes
200 à 250 gr de spaghetti
1 petit bouquet de persil avec ses queues
1 échalote ou un petit oignon
1 gousse d’ail
1 verre de vin blanc sec (un fond de bouteille ouverte au réfrigérateur…)
½ piment oiseau
1 petite tomate pelée
1 noix de beurre
Huile d’olive, sel et poivre, une pincée de sucre
si la tomate est acide

Comment je fais. Voir la recette du 8 octobre, plus bas
Ce plat est un peu cher à cause du prix des palourdes.

Les palourdes :
Je les achète souvent deux jours à l’avance et je les conserve au réfrigérateur hors de leur emballage, dans un bol, recouvertes d’un torchon mouillé plié, pour garder l’humidité.
Avant de les faire cuire, je les passe soigneusement sous l’eau. Il n’est pas nécessaire de les faire dégorger.

La fondue de légumes et la cuisson des coquillages:
Faire fondre l’échalote émincée, les queues de persil coupées en tronçons d’1 cm, et la gousse d’ail dans sa chemise, très doucement dans une poêle assez large ou une sauteuse (pour y verser les pâtes ensuite).
Dix minutes plus tard, ajouter la tomate pelée en morceaux, une pincée de sucre si c’est utile, le petit piment (si vous aimez) et laissez réduire encore. Il ne faut pas mettre d’assaisonnement à ce stade parce que les coquillages sont naturellement salés.
Ensuite déposer les palourdes dans la poêle, mettre à feu vif, ajouter le vin blanc.
Au bout 5 environ les palourdes s’ouvrent. Le vin et le jus des palourdes se mêlent, ça sent très bon. Pendant ce temps hâcher le persil.

Les palourdes s'ouvrent

Les spaghetti
Les faire cuire dans l’eau bouillante salée.
Au bout de 8 minutes, prélevez une bonne tasse d’eau de cuisson, égouttez les pâtes et terminez leur cuisson à feu vif pendant 3 minutes dans la poêle, avec les palourdes et la tasse d’eau. Mélangez
Juste avant de servir dans des assiettes creuses, ajouter le persil haché et une noix de beurre qui apportera de l’onctuosité au jus. C’est fini.
Surtout, ne pas laisser partir l’assiette sans avoir avalé le délicieux jus qui reste !

On peut préparer à l’avance la fondue de légumes et la cuisson des palourdes en couvrant la sauteuse.
A propos du persil:
Ne couper en tronçons que les queues tendres, pas les petites tiges un peu sèches où s’attachent les feuilles qui ne fondront pas.
A propos de l’oignon:
J’en mets un vraiment petit, sinon on ne sent le goût des coquillages.

Autocritique de la cuisinière

Ce plat était destiné à 6 convives et j’avais acheté 2 kilos de palourdes de taille moyenne.
Or, faire ouvrir 2 kilos de coquillages, même dans une grande poêle, oblige à les tourner beaucoup, impossible de les avoir sur « une couche ». Par conséquent les palourdes cuisent trop longtemps et perdent de la saveur.

Conclusion:
Pour plus de 2 convives, acheter des grosses palourdes qui sont plus chères. Mais on en achète moins…

Palourdes toutes simples sans spaghetti
du 4 novembre 2018

On les rince, on les dépose dans la poêle dans un filet d’huile, à feu vif, on arrose d’un fond de verre de vin blanc, attention ça éclabousse. Quand on n’a pas de persil… on met un peu de coriandre, un peu de basilic, un peu de fenouil, une pincée de piment… C’est tout, pas de sel, pas de poivre !
Quand les coquilles sont ouvertes, on peut ajouter une lichette de beurre frais.  Le jus devient délicieux, on sert et voilà une excellente entrée…

Autre autocritique de la cuisinière, 24 octobre 2019

…qui pense qu’oignon et trop de tomate gâchent peut-être bien la saveur délicate des palourdes. À essayer sans…

Essayé sans pour la recette du 8 octobre 2020 

Suivant la critique de la cuisinière…j’ai fait ouvrir les coquillages sans RIEN ajouter. Sauf 1/2 verre de vin ROUGE du Mercurey (point de vin blanc ouvert au réfrigérateur). Et la lichette de beurre. Note: 20 sur 20

Encore une autocritique de la cuisinière

…Qui finalement trouve que les palourdes ne valent pas le coût, ni le goût des coques !

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